La légende de la main noire

Il y a de celà des centaines d'années, durant la grande guerre entre les hommes et les orcs, l'ont raconte qu'en Keldoran un groupe mystérieux s'était établis. En plein coeur du tumulte entre les races, un groupe d'humain s'était réfugié dans la forêt noire, au nord de l'actuel Val d'Estones.

Au début, il s'agissait d'un groupe sans nom à la consistance très hétéroclythe. Voleurs de grand chemin et mercenaires peu scrupuleux s'était joint de façon circonstancielle à un groupe d'assassin de Neji nommé le "Kuro Kage". L'ont raconte que dès que le groupe se forma, les leaders naturels imposèrent un pacte de sang de loyauté au groupe.

Les temps étaient sinistres à cet époque. Peu de gens espéraient survivre dans la vallée réputée maudite. Les humains avaient érigé un campement de réfugié, protégés par de petites palissade qui leur permettaient au moins d'avoir l'espoir de survivre à une attaque isolée. Mais le bien avait fait ce qu'il pouvait pour illuminer les ténèbres. Un apprenti-paladin était de passage dans la région avec l'espoir de pouvoir chasser un peu de mal de cette vallée.

Cependant, quand le groupe des hommes allèvent vers le village, endroit où ils avaient été chassés par les orcs, ils eurent l'effroi de constater que la population civile avait été pendu haut et court aux arbres et aux poutres de l'auberge. Les cris des fantômes et leurs ombres hantaient les lieux et ont raconte que le diable en personne était dans l'auberge, discutant avec un revenant du méfait qu'ils avaient commis.

Mais tandis que les hommes de bonnes volontés tremblaient, certains membres du groupe noir riaient ou se délectaient de cette vision de cauchemar. Avaient-il perdu la raison? Surement; la guerre avait tant fait de victimes et montré tellement d'horreur... Cependant, les hommes n'ont pu faire grand chose contre les âmes damnés qui hantaient les lieux et même le coeur de pierre de ses hommes connurent l'effroi de la mort et du tourment face aux serviteurs du diable.

Malgré cette pénible aventure, les hommes se mouvaient sans difficultés dans les branches et les arbres

(a suivre)